Avril-mai 2020,j'ai vu Paris vide, silencieux, déserté par sa population, tétanisé par le virus, figé dans une peur prenant tout l'espace, dramatiquement beau néanmoins sans voitures et sans piétons.  
C'est ce dont j'ai essayé de témoigner avec cette petite série pour se rappeler ce que Paris fût et que nous ne reverront sûrement plus jamais…